Laetitia Amblard
- Études en cours : classe concertiste au Conservatoire du centre W. A. Mozart (Paris 1er)
- Professeur : Julien Szulman
- Instrument Talents & Violon’celles : un violon de Jean-François Aldric, depuis juin 2023
- Mécène : Caisse d’Epargne Grand Est Europe
Laetitia Amblard commence le violon à 3 ans et entre trois ans plus tard au CRR de Strasbourg, dans la classe d’Alexis Galpérine, puis d’Hedy Kerpitchian. Très tôt, elle remporte de nombreux premiers prix dans des concours, et participe à des festivals, master class et concerts en soliste en France comme à l’étranger. Elle rencontre via ces expériences des pédagogues tels que Ulf Hoelscher, Zackar Bron ou Igor Volochine.
C’est en 2018 que Laetitia entre au CNSMDP, dans la classe de Jean-Marc Phillips-Varjabédian.
Laetitia remporte en avril 2022 le second prix ex-aequo (1er prix non attribué) au Concours international de violon Arthur Grumiaux, à Bruxelles.
Durant ses années au CNSMDP, elle fonde avec trois amis un quatuor à cordes, le Quatuor Mirages. Au sein de ce quatuor, elle a la chance d’apprendre et de façonner son jeu auprès du quatuor Ebène et de Mathieu Herzog, du Quatuor Modigliani, de Mihaela Martin ou encore de Gabor Takacs. Le jeune ensemble participe, entre autres, à l’académie d’Aix en Provence, et à l’académie de musique de chambre de Verbier.
Laetitia a constitué également un duo avec le pianiste Rudy Gatti.
Avec le Quatuor Mirages, elle se produit en concert avec Augustin Dumay, Pierre Fouchenneret, David Grimal, Xavier Gagnepain, Michel Dalberto, ou encore Romain Descharmes.
- Ses trois compositeurs préférés
Beethoven, Schubert, Brahms - Son projet musical
S’enrichir sans cesse en apprenant à l’infini. - Un souvenir musical marquant
Son premier cours de quatuor avec Pierre Colombet, violoniste du quatuor Ébène : plus de 4 heures à travailler l’opus 127 de Beethoven. Elle découvre ce jour-là un prisme de recherche musicale si neuf et si exceptionnel qu’elle n’en est jamais ressortie. - Ce que ce violon a changé pour elle
« Depuis mes 13 ans, je jouais un violon qui avait été utilisé par plusieurs membres de ma famille. Le violon Jean-François Aldric est une délivrance totale pour moi ! Il me permet de chercher quelque chose de neuf, sur un terrain qui est neutre entre mes mains et qui me laisse toute la place de créer et de respirer. Ce violon a une clarté et une émission de son extrêmement impressionnante. Ce qui m’a le plus plu lorsque je l’ai essayé est sa réactivité ! Il réagit aux couleurs que je souhaite faire et j’aime beaucoup cela. »