Astrig Siranossian

Premier Prix et plusieurs fois Prix Spécial du concours international K. Penderecki, Astrig Siranossian se produit en soliste avec de grands orchestres. Invitée régulièrement par Daniel Barenboim, ses partenaires sur scène ne sont pas moins que Simon Rattle, Martha Argerich, Yo-Yo Ma, Kirill Gernstein, Elena Bashkirova, Emmanuel Pahud..

Elle se produit régulièrement sur les plus grandes scènes : Philharmonie de Paris, Carnegie Hall à New-York, Musikverein de Vienne, Walt Disney Hall à Los Angeles, KKL Luzerne, Casino de Bâle, Théâtre des Champs Élysée, Philharmonie de Berlin, Flagey Bruxelles, Théâtre Colon Buenos Aires , Kennedy Center Washington..

Régulièrement invitée sur les chaînes de télévision (TF1, France 2, France 5, CultureBox TV, BR Kultur..), ses enregistrements sont salués unanimement par la presse.

En mai 2022, Astrig fait ses débuts au Gewandhaus de Leipzig avec le Concerto n°2 en Mi mineur de Popper. En Octobre 2022 sort son album Duo-Solo, rencontre entre mélodies et danses populaires et répertoire savant faisant dialoguer le violoncelle et la voix.

En 2021, elle grave avec son partenaire de scène Nabil Shehata, le premier concerto de C. Saint-Saëns pour le label Alpha Classics.

Pour ce même label, est publié en 2020 l’album « Dear Mademoiselle », un hommage à Nadia Boulanger avec les pianistes avec Nathanaël Gouin et Daniel Barenboim qui reçoit les hommages de la presse internationale.

En 2018, son enregistrement réunissant les concertos de K. Penderecki et A. Khachaturian remportait notamment 5 diapasons, 5 étoiles Classica, Clef du mois ResMusica… Le précédent disque comportant des œuvres de Gabriel Fauré, Francis Poulenc et Komitas avait reçu le prix Musica.

Depuis 2016, elle prend la direction artistique des « Musicades », festival de sa ville natale, Romans sur Isère qui met en miroir la musique avec les arts mais aussi la gastronomie.

Elle crée en 2019 la mission « Spidak Sevane » qui vient en aide aux enfants au Liban et en Armenie à travers la musique.

Astrig Siranossian naît dans une famille de musiciens. Admise au C.N.R. de Lyon, elle poursuit ses études au C.N.S.M. de Lyon, obtenant à dix-huit ans son diplôme d’études supérieures avec les félicitations du jury. C’est en Suisse, au Conservatoire supérieur de Bâle, qu’elle achève sa formation dans la classe d’Ivan Monighetti, réussissant avec les plus hautes distinctions son master concert et son master soliste.

Elle joue un violoncelle de Francesco Ruggieri de 1676, généreusement prêté par la Fondation Boubo Music.