Paul Zientara

Paul débute l’alto en 2007 dans la classe d’Yves Pruvot, au CRD de Yerres dans l’Essonne. Il est alors âgé de 7 ans. Il poursuit son apprentissage et rejoint le CRR de Paris pour effectuer son cycle spécialisé dans la classe de Françoise Gnéri (2015-2017). Il est admis au CNSMDP et intègre en septembre 2017 la classe de Sabine Toutain et Christophe Gaugué. Il obtient son Diplôme national supérieur professionnel de musicien (DNSPM) en alto avec les félicitations.

Depuis 2016, où il a été lauréat du Concours des jeunes altistes de Caen, Paul a remporté plusieurs prix : 3eprix au 31econcours international du Festival Musical d’Automne des Jeunes Interprètes (FMAJI) en 2017, ce qui lui a permis de jouer de nombreuses fois en soliste avec orchestre ; 1erprix au Concours de cordes d’Épernay (2018) ; Grand prix de la Fondation Safran et 3eprix au Concours international d’alto Lionel Tertis sur l’île de Man en 2019. Il s’est perfectionné lors de master class récentes auprès d’Adrien Boisseau, Yuri Bondarev, Tatjana Masurenko, Nils Monkemeyer, Bruno Pasquier et Tabea Zimmermann.

Paul a partagé la scène avec Valeriy Sokolov, François Salque, Pierre Fouchenneret, Jérôme Pernoo, Marc Coppey, Adam Laloum, Emmanuel Strosser, Adrien Boisseau, Liya Petrova, Adrien La Marca, Jérôme Ducros, Jérémy Menuhin, Victor Julien-Laferrière et Nicolas Baldeyrou, notamment.

Il a été nommé Révélation Classique de l’ADAMI en 2021, l’année de ses 20 ans. Passionné de musique de chambre, il se produit régulièrement et joue en duo avec l’organiste Vincent Warnier.

  • Ses trois compositeurs préférés
    Bach, Mozart, Brahms
  • Son projet musical
    Finir son master au CNSMDP et continuer à approfondir son travail avec d’autres professeurs.
  • Un souvenir musical marquant
    La création de « Légende » de Vincent Warnier, une œuvre pour alto et orgue dont il est le dédicataire, à l’église Saint-Etienne-du-Mont décorée de 1600 bougies dans le cadre de l’année Sainte-Geneviève, en octobre 2020.
  • Ce que cet alto a changé pour lui
    « J’ai une chance extraordinaire de jouer cet alto de Patrick Robin. Il m’a apporté un nouveau champ de possibles : liberté de jeu, puissance sonore, richesse de timbre, avec finesse, élégance et panache ! »