Léo Ispir

Formation

Issu d’une famille de musiciens, Léo débute le violoncelle à l’âge de 7 ans dans la classe d’Isabelle Loubaresse au CRR de Rouen. À 14 ans, il intègre la classe d’Hélène Dautry au CRR de Paris et obtient en 2019 son DEM mention très bien avec les félicitations du jury. Il bénéficie également des conseils de Raphaël Perraud avant d’être admis en 2020 au CNSMDP à l’unanimité. En février 2023, il est admis à La Queen Elisabeth Music Chapel dans la classe de Gary Hoffman.

Activité

Il suit régulièrement des master class ou académies où il a bénéficié des conseils de Stephan Forck, Frans Helmerson, Gary Hoffman, le quatuor Ebene, le quatuor Modigliani, François Salque, Julian Steckel, notamment.

Léo a partagé la scène (en musique de chambre ou en soliste) avec Jean-François Heisser, Pierre Bleuse, François Salque, Svetlin Roussev, Raphaël Pidoux, Françoise Gneri. Il a joué en orchestre sous la baguette de Gianandrea Noseda, Jukka-Pekka Saraste, Lahav Shani lors du Tsinandali Festival, en Géorgie.

Distinctions et prix les plus récents

Il a remporté notamment le 1er prix et le « Grand Prize » au Gustav Mahler International Cello Competition (2023), le 1er prix au Concours International de Violoncelle Tremplin (2021), le 1er prix au Concours International des jeunes talents en Normandie (musique de chambre, 2018). Il a obtenu en 2021 la bourse Dany Pouchucq après sa participation à l’Académie Ravel.

Léo est le violoncelle n° 7 de Cello8, l’octuor créée par Talents & Violon’celles en 2020, avec lequel il a enregistré l’album « Ode à la nuit » sous le label Mirare et a réalisé la tournée de concerts 2021-2022, jusqu’à La Folle Journée de Nantes 2023.

  • Ses trois compositeurs préférés
    Brahms, Brahms, Beethoven
  • Son projet musical
    Jouer et partager le plus possible en musique de chambre, en soliste ou au sein d’un orchestre, découvrir et faire découvrir le plus de répertoire possible !
  • Un souvenir musical marquant
    Très jeune, l’écoute d’un enregistrement du concerto de Saint-Saëns par Jacqueline du Pré, marque un tournant clef dans son rapport avec la musique et le violoncelle.
  • Ce que ce violoncelle a changé pour lui
    « Ce violoncelle a changé ma relation avec l’instrument. En effet, il me permet de faire des recherches sur le timbre, les couleurs, le son en général, ce qui était bien moins accessible sur mon ancien instrument. Sa puissance va également me permettre de travailler sur une détente physique et de l’archet.»