Guillem Vega González

Guillem commence l’étude du violoncelle à l’âge de sept ans au conservatoire professionnel de Catarroja (Valence) en Espagne. Il poursuit dans ce même conservatoire jusqu’à obtenir en 2019 son diplôme d’études professionnelles avec félicitations du jury à l’unanimité. Il est admis ensuite au Conservatoire royal supérieur de musique de Madrid dans la classe de Fernando Arias, où il obtient le 1erprix de violoncelle à l’unanimité. Il est admis au CNSMDP pour la rentrée 2020.

Parallèlement, il s’est formé avec Adrian Van Dongen, et depuis 2016 avec Maria de Macedo à Madrid. Depuis 2017, il travaille régulièrement avec Marc Coppey et Lluís Claret à la Fundaçao Franz Schubert (Oporto, Portugal).

Guillem a participé́ à plusieurs académies internationales et aux master class de Marc Coppey, Gary Hoffman, Claudio Bohorquez, Philippe Müller, Sung-Won Yang, Jeroen Reuling, Adrian Brendel et José E. Bouché, notamment. Depuis 2017, il a remporté plusieurs prix nationaux et internationaux : le plus récent est le prix de la Fondation Victoria y Joaquin Rodrigo 2019.

  • Ses trois compositeurs préférés
    Bach, Schubert, Schumann
  • Son projet musical
    Pour le moment, travailler pour maîtriser son instrument et découvrir tout le répertoire possible, pour violoncelle seul, en musique de chambre et en orchestre.
  • Un souvenir musical marquant
    Son premier stage à l’étranger avec le violoncelliste Lluís Claret dans le cadre magnifique de l’abbaye de Fontfroide. Il a alors 12 ans. À la fin de la session, tous les participants et leur professeur ont joué ensemble le “Chant des Oiseaux” de Pablo Casals… un moment vraiment magique et touchant qui l’a décidé à devenir violoncelliste.
  • Ce que ce violoncelle a changé pour lui
    « Ce bel instrument me permet de découvrir toute une nouvelle variété de couleurs et de timbres qui étaient avant inaccessibles pour moi. Il répond magnifiquement, et plus le temps passe, plus je me sens confortable avec lui. Il me donne la possibilité d’explorer différentes sonorités et d’élargir mes ressources expressives, de dépasser des difficultés instrumentales pour grandir artistiquement. Je peux aborder tout type de répertoire. Que ce soit dans une grande ou une petite salle, le son voyage, projette, et le timbre s’arrondit. »